La côte d'ivoire de nouveau au travail!

Voilà c’est fait !!!

Après la prestation de serment du PRADO, les choses sérieuses devraient commencer.

Mais déjà au bilan du mandat écoulé, j’ai été conforté à l’idée d’avoir eu raison de voter pour ce Monsieur en 2010. Car le sentiment que j’avais eu pour lui s’est concrétisé par la transformation presque de la côte d’ivoire en si peu de temps: la réhabilitation des universités, des établissements sanitaires, des routes, des édifices tombés en ruine après la longue crise qu’à connue le pays, la réalisation des ponts, l’augmentation des salaires des travailleurs, l’amélioration du climat des affaires, du code des investissements pour ne citer que ces exemples. Tout a été pratiquement touché par le PRADO.

En réalité, ce sont ces leviers cités plus haut qui, une fois maintenus sur une longue durée, nous conduisent aux croissances économiques et donc au développement avec tout son corollaire : du boulot pour la population (la jeunesse avec), l'augmentation des revenus, le panier de la ménagère rempli, le niveau et l’espérance de vie élevés, un meilleur cadre de vie,… C’est donc à juste titre que l’on dit que la route et donc les infrastructures économiques précèdent le développement.

On ne peut que suivre un tel homme aux nobles ambitions sans forcément être un parent ou du même groupe ethnique. C’est cette côte d’ivoire qui doit nous guider désormais, celle des idées, du savoir-faire et donc du mérite. Rien de plus !

A mon avis, le second mandat du PRADO devrait être plus facile que le premier.

Il se déroulera davantage dans un climat de paix et avec moins de pression.

Le Président devra donc maintenir le cap : continuer les réhabilitation et réalisation des infrastructures socio-économiques citées plus haut.

Repenser le projet des logements sociaux : Fondre la construction des logements dans les projets à impact rapide par exemple, avec pour main-d’œuvre les ex combattants qualifiés qui n’ont pas encore été insérés; puis y introduire des terrains nus à moindre coût et laisser les sociétés immobilières exercer leur travail du privé. Car l’implication des sociétés immobilières rend les coûts d’acquisition des maisons hors de portée des populations.

Résoudre définitivement la question de l’insalubrité en responsabilisant les communes avec les moyens mis à leur disposition, leur exiger une obligation de résultat. Inculquer une culture de la salubrité à la population ivoirienne.

Au total, l’émergence à l’horizon 2020 dont parle le Président Alassane OUATTARA ne souffre d’aucune ambiguïté, vu que les agrégats économiques militent dans ce sens depuis sa prise de fonction. Reste maintenant l’autre volet à savoir l’adaptation, la transformation des mentalités des ivoiriens pour qu’ils s’approprient cette nouvelle donne. En somme, faire de l’ivoirien un IVOIRIEN NOUVEAU. Et c'est possible.

Bon vent au président de la république.

JKBT.